Les organisations écologiques et indigènes sont sur le pied de guerre. Alors que le Pérou doit accueillir, en décembre, la 20 Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, le président, Ollanta Humala, est accusé de sacrifier la protection de l’environnement au nom de la relance économique. En avril, le pays, l’une des économies d’Amérique latine les
plus dynamiques, a enregistré son taux de croissance le plus bas depuis cinq ans (+2,01 %).
Leer noticia completa en Le Monde 29/07/2014
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